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Infos pratiques ... Pour vous faciliter le pays

  • Superficie : 1962 km²
  • Population : 16,74 millions
  • Capitale : Dakar
  • Religion : 94 % de Musulmans avec un système de confrérie, 5 % de Chrétiens.
  • Langue : Les langues officielles du Sénégal sont le français, utilisé par l'État, l'administration, ... et le wolof qui est la langue la plus parlée par la population. Il y a six langues qui ont reçu le statut de langues nationales :
    le wolof, le sérère, le poular, le mandingue, le soninké et le diola.
  • Décalage horaire le Sénégal est à l’heure GMT, soit une heure de différence avec la France durant l’heure d’hiver et deux heures durant l’heure d’été.:
  • Electricité : le réseau électrique sénégalais fonctionne en 220 V et les prises de courant sont à deux fiches rondes, comme en France.
    Notez que des délestages sont assez fréquents, engendrant des coupures de courant plus ou moins longues, particulièrement pendant la saison des pluies.
  • Téléphone et internet : Indicatif téléphonique : +221
    Le Sénégal possède un excellent réseau téléphonique. Les réseaux de téléphonie mobile couvrent la majorité du territoire et sont de bonne qualité, ayant permis au pays de réduire considérablement la fracture numérique par l’adoption de la 3G et désormais de la 4G en zone urbaine. Trois opérateurs se partagent le marché, Orange, Expresso et Tigo, avec des offres par abonnement ou à la carte.
    • www.orange.sn
    • www.expressotelecom.com
    • www.tigo.sn
    Vous trouverez également de nombreux cybercafés, en ville comme en brousse, avec des connexions à tarifs réduits. Aujourd’hui, la quasi-totalité des hôtels propose une connexion Wifi gratuite.
  • Cuisine : La cuisine sénégalaise est à raison considérée comme la plus riche et inventive d’Afrique de l’Ouest. Elle est la conséquence heureuse d’une histoire riche en métissages (influences arabe de l’islamisation et européennes de la colonisation par le Portugal, la France, etc.).
    Le repas traditionnel des Sénégalais doit beaucoup à la proximité de la mer et des fleuves puisque le poisson occupe une place de choix dans les éléments de base de l’alimentation quotidienne. Le plat national sénégalais, le fameux thieboudiène (il en existe plusieurs orthographes) ou riz au poisson est traditionnellement réalisé avec le thiof (mérou). Le poisson peut être traité de diverses façons : grillé, braisé, fumé, salé, …. et la richesse des eaux sénégalaises enrichit la cuisine locale d’espèces aussi variées que le mulet, la carpe rouge, la carangue, le capitaine, l’ombrine, le thon, la sole, le barracuda, la lotte, le saint-pierre, l’espadon, la langouste, le poulpe, etc.
    Mention particulière pour le yet, mollusque faisandé et séché (surnommé “camembert sénégalais” à cause de son odeur) dont les Sénégalais raffolent mais qui ne fait pas systématiquement la joie des palais européens...
    Les mangroves du Sine Saloum et de la Casamance permettent d’approvisionner les marchés en huîtres, crabes, gambas, crevettes etc.
    La viande qui n’appartient pas au quotidien des sénégalais est le poulet, le mouton, le bœuf (plus coûteux) voire la chèvre. La viande de porc est consommée dans les quelques enclaves chrétiennes ou animistes (entre autres dans le pays Sérère, la Casamance, Saint-Louis du Sénégal, Gorée, …)
    Les céréales sont également à la base de l’alimentation traditionnelle sénégalaise : le mil cuisiné en bouillie, en boulettes, ou couscous, le fonio, sans oublier le riz cassé (cultivé le long du fleuve Sénégal, en Casamance ou ….. importé d’Asie.
    La culture de la tomate est maintenant intensive le long du fleuve Sénégal et son concentré est très fréquemment un ingrédient de la cuisine quotidienne.
    Des légumes tels que les choux, les carottes, les aubergines, les gombos, les niébés (petits haricots à l’œil noir), le manioc, la patate douce, etc. entrent dans la composition de la cuisine du Sénégal.
    Le climat tropical est favorable à la culture fruitière ; citons les mangues jaunes ou vertes, les oranges vertes, mandarines, dattes, pamplemousses, papayes, jujubes, goyaves à chair rose, noix de coco, corossol, pastèques, melons ...
    Le Sénégal étant traditionnellement un pays producteur d’arachides, celles-ci ainsi que les noix de cajou sont proposées à tous les coins de rues.
    On peut également citer des fruits typiques de l’Afrique de l’ouest tels que la jujube, le solom, les madd, les toll, le tamarin, le soump, le houle, la figue de barbarie, le ditakh, le dankkh, le néw, etc...
    Autre particularité culinaire africaine, le fruit du baobab (le “pain de singe“) dont la pulpe est utilisée pour préparer une boisson appelée bouye.
  • Autres boissons consommées au Sénégal :
    • le bissap, un jus de couleur pourpre fabriqué à partir des fleurs d’hibiscus, additionné d’eau, de sucre, de menthe ou de fleur d’oranger. Il est connu pour ses vertus ... laxatives
    • le dakhar (une décoction de tamarin) acidulée et rafraîchissante
    • le gingembre
    • le ditakh
    • Le Café Touba, café aromatisé au gingembre
    • le thé (atthaya) servi en trois étapes. Le premier verre est plus amer, le second plus fort et le troisième plus suave
    • les feuilles de kinkeliba sont infusées pour préparer une boisson rafraîchissante ou bues en tisane (vertus anti paludéennes)
    • les bières “Gazelle” et “Flag”
    • le vin de palme (en Casamance), issu de la fermentation de la sève du palmier
    • Enfin, la cuisine de la ménagère dakaroise fait souvent appel au cube ou à l’arôme “Maggi”, appelé également le “corrige-madame”.
  • Taxi : Les taxis étaient autrefois équipés de compteur, dont la vitesse de défilement variait parfois dans des proportions surprenantes... Cette époque est révolue et il faut marchander avant de monter.
    La règle de base à comprendre, c’est que le chauffeur demande à peu près le double du prix correct. Ce n’est pas méchant, c’est la règle. Alors vous proposez la moitié et vous attendez. S’il s’en va, vous recommencez avec un autre. Au bout du cinquième refus, il vous faudra augmenter légèrement votre offre. Gardez toujours une attitude légèrement dédaigneuse lors de la négociation pour montrer votre connaissance du système.
  • Devises et change : Le Sénégal est membre de la communauté financière africaine (CFA). Le franc CFA a une parité fixe avec l’euro.
    • 1 000 FCFA = 1,524 €uros
    • 1 €uro = 655,957 FCFA
    Vous pourrez utiliser vos chéquiers en euros et cartes bancaires pour retirer de l’agent dans la quasi-totalité des établissements bancaires.
  • Service postal et transfert d’argent : Les services postaux sénégalais sont fiables et vous trouverez des agences sur l’ensemble du territoire. Les bureaux sont ouverts de 8h30 à 16h. Des services complémentaires comme les courriers express ou les transferts d’argent y sont proposés.
    D’autres organismes de transfert d’argent comme Wari, Western Union ou Moneygram sont présents, vous les trouverez même dans des villages de brousse.
  • Tenue vestimentaire : Vous allez visiter un pays où l’Islam est omniprésent, même s’il est libéral. Il convient donc de respecter certaines règles de savoir-vivre en matière vestimentaire.
    Le fait de montrer ses jambes (garçons ou filles) n’est pas bien vu par les musulmans, ayez donc en dehors des zones de baignade une tenue décente et non débraillée. Évitez short et mini-jupes.
  • Valise : Vêtements légers, sandales, espadrilles, une paire de chaussure de marche.
    • Quelques vêtements à manches longues et pantalons (pour les soirées fraiches en saison sèche (novembre à mai) ou pour éviter les piqures de moustiques durant les soirées d’hivernage)
    • Chapeau ou casquette, tenue de plage, lunettes de soleil, crème solaire, répulsif anti-moustiques
    • Paire de jumelles et téléobjectif si vous prévoyez de visiter un parc national (Djoudj, Niokolo-Koba…)
  • Marchandage et pourboires : Il est d’usage de laisser un pourboire dans un restaurant dit «moderne». Ce n’est pas le cas dans les gargotes.
    Il est courant voir même indispensable de marchander, selon l’achat à effectuer. Il faut voir le marchandage avant tout comme un acte d’échange et d’interaction sociale, au-delà de l’aspect économique. Plus vous discuterez le prix et prendrez du temps, plus vous obtiendrez le respect de votre interlocuteur On marchandera volontiers auprès des vendeurs ambulants et des petites boutiques de rue, comme dans les marchés.
    Dans le même esprit, une course de taxi sera l’occasion de marchander (se renseigner auprès de locaux pour avoir une estimation du prix « réel »).
    En revanche, les trajets en transports en commun et les trajets longues distances en taxi 4 ou 7 places ont un prix fixe.